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mardi, 22 janvier 2008

Lyon : Une ville pour It Girl et pour les autres aussi


ParuVendu

 

Je suis arrivée à Lyon à la fin du mois d’Août 1995. A peu de choses près, j’avais donc 10 ans. Pendant les 10 premières années de résidence lyonnaise, je me suis définie comme une fille du Pas de Calais qui vivait à Lyon. Et puis un jour, lorsqu’il fut officiel que j’avais passé plus de temps entre Rhône & Saône que face à un terril, j’ai dû m’y résoudre. J’étais bien Lyonnaise, je savais où trouver du pain le Dimanche, je savais ce qu’était une traboule, je donnais rendez-vous à mes amis sous la queue du cheval… Et oui il y a des signes qui ne trompent pas. C’était même écrit noir sur blanc sur mon passeport ou sur ma carte d’électrice. J’étais habitante du deuxième. C’était comme ça, je n’y pouvais rien. Je voyais bien la Rue de la Ré depuis la fenêtre de mon salon, et sous cette même fenêtre il y avait bien une borne Velov.

J’ai fait semblant de vouloir partir, je suis allée en Angleterre. Et donc là comme j’écris sur ma ville, ça veut dire que je suis revenue et que j’était vraiment contente de rentrer au bercail.

 

A Lyon, il y a tout un tas de truc it à faire. Lyon c’est la ville du Cinéma et quand tu aimes le cinéma, tu peux aller visiter la maison des frères Lumières et l’institut Lumière qui est rue du Premier Film vu que les frères Lumières ils sont Lyonnais.

 

 

A Lyon, il y a des belles Eglises à visiter, vu que c’est une ville très catholique à la base, c’est ici qu’habite Le Prima de Gaule, qui n’a rien à voir avec le général, mais avec des vieilles autorités spirituelles romaines. Donc on a plein d’Eglise comme la Cathédrale St Jean ( là où Cécilia est venue pleurer sur la dépouille de son ex mari qui était petit reporteur avant), ou comme la Basilique Fourvière qui a un style très arabisant et de où tu as une super vue sur la ville.

 

 

A Lyon il y a plein de magasins et de créateurs qui sont souvent vendus Passage Thiaffait. Et il y a d’autres boutiques où on peut presque trouver tout ce dont on a besoin pour oublier qu’on habite pas Paris. Ce qu’il manque c’est une boutique Sandro, mais on trouve la marque ailleurs.

A Lyon on a notre Colette qui s’appelle As it Is avec un bar à eau au sous sol. Sinon on a aussi la Part-Dieu qui est le plus grand centre commercial en ville de France.

 

A Lyon on a un magnifique opéra juste en face du Starbucks. Oui parce qu’à Lyon, on  a un Starbucks, c’est ce qui nous démarque du reste des villes du Désert Français ( copyright J.F Gravier)


L'Opéra, illuminé lors de la Fêtes des lumières, fête traditionnelle Lyonnaise, chaque 8 Décembre

 

A Lyon on a le deuxième plus grand musée de France après Le Louvre, c’est un endroit magnifique, avec un cloître appaisant. C’est l’endroit parfait où s’isoler quand on veut oublier le bruit de la ville.

 

 

Ou alors il y a aussi le Parc de la tête d’Or, qui est le plus grand parc en ville de France.

Le premier qui me dit qu’on a un complexe… il est pas it du tout !

 

Bon, pour dire la vérité, à Lyon on a que des trucs it. Même notre équipe de foot, c’est la plus it de France. Les Vélib de Paris, c’est rien que des pâles copies grisâtres des Vélov et c’est plus cher. Toutes les pièces de théâtre de Paris viennent à Lyon. Et les films d’arts et d’essai sont tous projetés dans un CNP ( Cinéma national populaire).

 

Voilà d’autres trucs it que j’aime dans ma ville

 

La Place Sathonay

 

 

 

La montée de la Grande Côte

 

Les macarons Bouillet

 

 

 

La fontaine Bartholdi place des Terreaux

 

Les nuits de Fourvière, un super festival de musique estival, dans l'enceinte de l'Amphithéâtre Romain

 Alors, si  comme moi, vous  souhaitez  habiter  Lyon ou sa région, n'hésitez pas à consulter les  petites annonces immobilières de ParuVendu

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samedi, 19 janvier 2008

Publi-reportage : Une It ville nommée Bruges

Il y a quelques semaines, je vous ai parlé de mon amour pour la Belgique, ce petit pays que les Français se plaisent (injustement) à railler. Puis je vous ai parlé de blogs belges dont j’ai fait la plaisante découverte. Vous savez donc que cet article, même s’il est sponsorisé, je l’écris aussi avec le cœur. J’étais secrètement jalouse de ces blogueuses influentes qui avaient eu la chance d’être sélectionnées pour parler de Bruges, cette ville que j’aime tant. Et voilà qu’à moi aussi, on demande de parler de cette it ville. Alors c’est avec un plaisir non dissimulé que je cherche des mots pour décrire cette Venise du Nord. Expression qui ne me plait que moyennement, après tout pourquoi Venise ne serait pas une Bruges du Sud ?

Image hébergée par servimg.com

 J’ai grandi dans le nord de la France, la frontière belge située à quelques kilomètres de chez moi, représentait dans mon imaginaire une mur invisible derrière lequel régnait un ordre différent, mais tellement plus amusant que de mon côté de la frontière. Bruges, ses canaux, ses chocolateries, son beffroi, ses troquets et même ses boutiques me fascinaient. Un jour, en me promenant sur les quais, j’ai découvert la présence dans cette ville éternelle, du Collège de l’Europe et j’ai eu envie d’y faire mes études plus tard. Passer une année à Bruges entre les magasins de dentelle et les brocanteurs, entre le béguinage et les cornets de frites, me semble toujours un projet agréable. J’ai finalement préféré la culture et ses aléas aux Institutions Européennes, mais Bruges a de nombreuses facettes, des musées & une architecture typiquement flamande qui font mon bonheur. La ville a bénéficié des retombées de Lille 2004: Capitale Européenne de la Culture. Bruges est comme moi, aristocratique, secrète et bohême.

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 La dernière fois que je suis allée à Bruges, ce n’était pas avec des membres de ma famille ou des amis de mes parents à qui on fait toujours visiter la ville, mais avec des amis de mon âge. Je jouais le guide, comme Nathalie à Moscou. C’était le premier jour de l’Eté, il faisait chaud, nous avons pique-niqué dans un des nombreux parcs de la ville. Nous avons arpenté ses dédales, admiré son beffroi, goûté ses chocolats. Et le train du départ qui nous a ramené à Lille a eu un goût bien triste. Pas assez de temps pour que les filles fassent du lèche-vitrine, pour que les papilles des gourmands et des gourmandent élisent le meilleur chocolatier, le meilleur vendeur de frites ou que nos palais dégustent, avec modération, toutes les bières que proposent les bars de la ville. Juste un souvenir charmé d’un repas improvisé autour de sandwiches américains, plat traditionnel des jeunes voyageurs.

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 Alors lorsque j’ai appris que l’on pouvait passer dans la ville 3 nuits pour le prix de deux*, j’en ai parlé autour de moi et mes amis ont été conquis. Un voyage est déjà prévu. Je leur ferai découvrir le béguinage, ce couvent en plein cœur de la ville, où règne un calme idyllique.

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Nous ferons une promenade en bateau en écoutant un guide flamand réciter avec ardeur son texte en plusieurs langues. La patronne du plus vieux bar de la ville, dont il parlera sûrement, portera-t-elle toujours le même prénom? Elle ne sera en tout cas pas aussi âgée que les murs qu’elle habite. Et après tout, pourquoi ne pas partir maintenant ? Inutile d’attendre les beaux jours, la ville, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, est la proie des touristes. Deedee a eu raison d’y aller en hiver, les Belges sont assez chaleureux pour faire remonter la température avec une bonne casserole de moules !
Et il vaut mieux déguster des chocolats entre amis ou entre amoureux en hiver, lorsqu’il est bien croquant, que lorsqu’il fait chaud et que le chocolat se ramollit. Et partir à Bruges avec l’offre en question, c’est aussi recevoir à son arrivée des chéquiers de réduction pour se faire plaisir à moindre frais dans une des boutiques de la ville Je vous le dis comme je le pense, partir à Bruges c’est tellement it, que j’y vais le plus souvent possible, et que je n’ai jamais été déçue par la ville et ses charmes.

Image hébergée par servimg.com 

 * Offre valable jusqu'au 11 mars 2008, à condition que le séjour commence un dimanche, un lundi ou un mardi. Plus d'information sur le site de la ville : http://www.winterinbrugge.be/

mercredi, 14 novembre 2007

New London

Ca y est, Londres et Paris sont à 2h15 l'une de l'autre. Et Londres, vu que j'aime, vue que j'adore, c'est it, on est tous d'accord.
j'aurai bien eu besoin de cette nouvelle connexion moi l'an dernier, parce que je prenais le train à St Pancrass pour retourner à Loughborough. J'avais une it envie de rentrer au pays du fromage et maintenant j'ai une it envie de retourner au pays du cheddar. Allez comprendre...

Enfin 2h15, c'est it pour se faire un tea time chez Fortnum & Mason

Mais si t'as pas envie de Londres et que tu veux quand même leurs super trucs, il y a moyen de se faire livrer moyennant 15livres de frais de port


(il y a que sur Londres qu'ils livrent comme ça, mais on peut toujours rêver, non ?)

Enfin, bon, bref passons

Et puis j'ai une it envie de Primark et de ses paletots pas cher, de Top Shop...

J'ai besoin d'aller prendre un chocolat chaud de bon matin au progresso de Portobello Road. Je veux me promener dans Hyde Park et de voir la foule s'ammonceler pour la relève de la garde. Je veux aller voir une comédie musicale vers Leicester square et aller flanner au Victoria & Albert Museum le Dimanche matin.

Je veux rentrer dans une librairie et y découvrir des tas de super livres aux couvertures plus alléchantes les unes que les autres.

 

samedi, 10 novembre 2007

Memories

En me baladant sur le site de Facehunter, je suis tombée sur un petit bout de Londres que je connais. Le quartier le plus it selon moi, s'étend entre Liverpool street station & bethnal Green. C'est l'east-end, Shoreditch et ses supers marchés couverts, Brick Lane, ses restos pakistanais, ses bagels, ses magasins de petits créateeurs locaux pas trop chers ( on est bien en dessous des prix pratiqués par Maje et cie) alors qu'on a le droit à plein de pièces presque uniques totalement british. brick Lane et son marché gigantesque le dimanche matin. C'est un quartier encore populaire, mais qui devient de plus en plus à la mode. Il y a mon bar préféré, le 1001, aussi bien de jour que de nuit. Il y a encore peu de touristes ( ce qui a le mérite de changer d'Oxford Street et de Notting Hill). Il y a des vrais Londoniens aux looks incroyablement it, bien différent de l'anglaise classique bedonnante de biere et de blouse New Look... Il y a ma dernière soirée à Londres, ou tout a presque été possible. Il y a des it souvenirs et une über envie d'y retourner. L'année dernière, à chaque fois que je quittais Londres je n'avais plus envie. Trop épuisée, trop blasée, trop ruinée par starbucks et le métro horriblement cher. Mais voilà que ça me titille à nouveau et que l'envie de m'y installer refait battre mon coeur d'it girl.

Quand je vois ça, cet angle de rue où il m'a pris la main.

 

 

Je suis une jeune fille ( en fleur de lys) dans un jardin anglais