lundi, 04 février 2008
Histoire de cardigan et aussi de Judy Garland
Je vais vous avouer un truc de dingue sur moi. J'écoute de la musique. Je fais mon coming out de fille qui a des oreilles.
En plus j'écoute de la bonne musique, hein, faut ma me refiler un CD de Tina Arena, ça non, c'est sure j'écouterai pas, sauf si je suis sur une île déserte et que c'est l'apocalypse et que c'est le seul disque du reste du monde. Ce qui a peu de chance de se produire, isn't it ?
Donc j'écoute de la musique, assez souvent je dois dire.
Et puis maintenant c'est über simple, il suffit d'aller sur DEEZER ou d'avoir Itunes et tu as plein de musique.
Un chanteur que j'aime bien, c'est Rufus Wainwright (enfin je sais pas toujours comment ça s'écrit et tout et tout mais j'aime bien). D'ailleurs l'autre jour quand j'ai acheté les plus jolies chaussures du monde, eh bien dans la boutique (Mont St Michel, rue du Jour), ils passaient son CD et ma mère était vraiment contente que je m'achète les plus jolies chaussures du monde sur une aussi belle musique, parce que ma mère son nouveau trip de rêve avec moi, sa fille unique et préférée, c'est d'aller voir Rufus en concert. Je n'ai pas le courage de refuser. Je suis très très polie comme fille.
J'aime aussi beaucoup beaucoup The Cardigans, depuis que je suis très jeune, enfin depuis que j'ai découvert LOVE ME dans le film Roméo+Juliette. J'adorai cette chanson... love me love me say that you love me, fool me fool me, go on and fool me...( toute ressemblance entre cette chanson et un allemand de ma connaissance est fortuite, c'est la faute du hasard, non les chansons ne dictent pas ma vie).
L'autre jour quand j'étais à Paris, je suis allée chez Colette parce que j'avais que ça à faire et que c'est à côté de la ou ma mère travaille, et que c'est pas que je sois fan de la rue St Honorée, mais bon, Je peux pas aller aux Halles un Samedi après midi.
Alors je vais chez Colette. Enfin en fait c'était le Samedi matin. D'habitude dans ce temple de la fashionitude parisienne, il y a des gens mais ça va pas trop. Là c'était plein. Je me suis dit qu'il y avait sans doute Kate Moss ou Isabelle Adjani dans le magasin. Mais non en fait même pas. C'était plein parce qu'ils vendaient des Tshirt H&M pas cher. Des tshirt qui étaient dessinés par des Stars de la chanson. Dont Rhiana ( c'est comme ça que ça s'écrit ? Je sais juste écrire Umbrella, ella, ella). Mais son tshirt il était tout moche alors je l'ai pas acheté. Mais j'ai vu qu'il y en avait un de Rufus et là j'ai su que je le voulais ( vu que chez Marc jacobs, le tshirt Rufus c'est un modèle pour homme, c'est nul que les tshirt pour Homme ressemblent à rien sur moi!!!). Et j'ai eu l'über chance d'avoir le dernier Tshirt Cardigans en plus. J'étais aux anges, j'ai donné mes 24 euros au vendeur et la vie est devenue belle tout d'un coup.
Ca c'est le T-shirt de Rufus, la petite salopette d'enfant du tyrol, c'est lui. La chaussure à talon c'est Judy, et c'est peut être aussi le fait que c'est un garçon sensible. Eternel drame de ma vie d'étudiante... Non je n'épouserai pas Rufus... non je ne ferai pas partie d'une grande famille de la chanson... ( parce que tu vois son père il est chanteur, sa mère elle est chanteuse, et sa soeur aussi, ce sont des ARTISTES!). Ce Tshirt je le porte sous un joli pull gris clair ( enfin noir clair, hein, le gris c'est le nouveau noir!) à col roulé en cachemire ( de chez Auchan le cachemire, hein, Eric Bompard est toujours pas mon ami^^) sur un jean noir et avec mes nouvelles plus belles chaussures du monde. Ce qui est bien c'est que le Tshirt est long et au moins quand je pose mes fesses sur une chaise, on voit autre chose que ma culotte!), et j'attache mes cheveux bien haut. Mais si vous voulez le porter d'une façon différente, ma foi, rien ne vous en empêche, je voulais juste vous donner une impression de mon ittisme naturel. A savoir que j'attache mes cheveux quand ils sont un peu grassouilleux ( j'aime bien grassouilleux, pas vous ? c'est joli je trouve!)
Ca c'est le Tshirt des Cardigan. Je l'aime beaucoup, il est très agréable à porter( j'essaye de dire des trucs qui font conseil). Il n'est pas über original, mais il est mignon. Moins arty que le tshirt de Rufus. Je peux être une fille normale quand je le porte. Pas le genre de fille qui se la joue, ouai j'achète des tshirt contre le Sida chez Colette... je suis tellement au dessus du commun des mortels! Ma mère est rentrée dans l'Elysée bien avant la Carla... et j'ai des photos d'elle causant avec Bernadette & Jacques ( coefficient 14 sur l'échelle de la ItGirl qui se la pète).
Bon maintenant, moi je croyais que j'avais trop de la chance d'avoir eu le dernier Tshirt vendu chez Colette et je croyais même que c'était un truc propre à Colette, mais il se trouve que dans le H&M qui est à cinq minutes de chez moi, ils en ont plein. Je suis même pas une pétasse fashion... c'est la loose totale! cependant j'ai décidé de partager ce bout de ma garde robe avec vous parce que moi comme vous le savez, je suis contre la guerre et le Sida et que sur les 12 euros 90 que coutent les Tshirt, je crois que 30% vont à la lutte contre le Sida.
Si vous aimez Rhianna ( j'aime bien, oui j'avoue mais son Tshirt est moche), Timbaland, Ziggy Marley, Justice et plein d'autres groupes que je connais pas toujours parce que bon on est 6 milliards sur cette planète, je peux pas name dropper tout le monde), voilà le lien vers le site : http://www.hm.com/fr/#faa
edit : alors Judy Garland c'était pour bien m'assurer que vous etiez des incultes de la chanson it ( pfff pi-toy-a-ble!^^). Rufus a dernièrement repris un spectacle de Judy garland sur scène et son show c'était Rufus Wainwright does Judy Garland)
13:00 Publié dans La it musique | Lien permanent | Commentaires (19)
jeudi, 31 janvier 2008
Desert
O mon amour, mon âme soeur je compte les jours je compte les heures...
19:22 Publié dans La it musique | Lien permanent | Commentaires (7)
lundi, 21 janvier 2008
One girl into the wild...
C'est étrange comme parfois, il est difficile de parler de ce qu'on aime. Je cherche en vain comment vous convaincre d'aller voir Into The Wild, et je n'y arrive pas.
J'étais assez chagrine ce week end de ne pas être assez bien selon ma tante. D'un autre côté, elle n'est pas assez bien pour moi non plus, j'ai horreur de cette petite bourgeoise provinciale qu'elle est devenue, femme de médecin dans un microcosme audomarois nauséabond dont la principale activité consiste à se dire qu'elle est la mieux habillée de sa ville. Dans sa grande bonté, elle donne se qualificatif à son mari et à ses enfants.
L'amour que je lui porte, elle ne semble pas en vouloir. Alors je lui reprends. Je ne ferai pas le premier pas. Je ne me suis jamais considérée comme étant mieux que quelqu'un, je me dis juste que les 6 milliards de personnes qui peuplent cette planète sont en gros tous assez différents les uns des autres et qu'essayer d'en faire des clones sans âme est tout, sauf une bonne idée. Ai-je tord de ne pas vouloir changer à tout prix ce que je suis ? De ne pas m'imposer des règles drastiques que j'estime stupide ? Après tout, je ne demande pas à ma famille de changer pour me plaire, elle me plaît comme elle est et je persiste à lui trouver plus de qualités que de défauts.
Alors pour oublier que je n'étais pas parfaite, je suis allée au cinéma à l'aveuglette. J'avais certes entendu parler du dernier Sean Penn, mais l'idée de suivre un néo bab américain dans un voyage solitaire que j'imaginais long et lassant comme un jour sans pain ne me tentait guère. A cela il faut rajouter que mes dernières tentatives avec le cinéma indépendant américain étaient tout sauf des réussites. Passe encore Little Miss Sunshine, mais par pitié, qu'on ne me parle plus de Garden State...
Je me disais que les américains excellaient dans les grosses productions et qu'à part Tim Robins, nul n'est prophète en son pays.
Alors je me suis plongée dans l'inconnu, deep into the wild, comme Alexander The Supertramp. Et je dois avouer que j'y suis encore... no phones, no pool, no pets... Il faudrait toujours aller au cinéma comme ça, sans savoir ce qu'on va voir et donc ce qu'on va vivre.
J'ai soudain envie de vendre tout ce que je crois posséder et de partir à l'aventure, découvrir un monde que je ne connais pas. J'ai envie d'être une hippie et de gratter ma guitare comme Janis Joplin. J'ai envie d'être ailleurs, dans un endroit où on ne voit pas de mal à ce qu'une enfant de 11 ans utilise "cependant" et "néanmoins" dans une petite rédaction de 25 lignes sur les cadeaux de noël. ( Si une prof de français peut venir à mon aide pour m'expliquer en quoi ces mots si affreux de notre langue doivent être bannis comme Carthago delenda est )
Je suis into the wild et c'est très bien comme ça.
12:05 Publié dans La it musique, Le it film, ma vie de it girl, Voyage | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : blabla de fille
mercredi, 16 janvier 2008
Feistival
article datant du 25 Août, je feist mes fonds de tiroirs...
Il y a des gens qui trouvent sa musique depressive. Je vais faire abstraction de ces personnes qui n'ont de toute manière aucun intéret vu qu'ils ne partagent pas mes goûts éclairés en matière de musique. Parce que moi je suis Feistaholic et que limite, une journée sans une de ses jolies chansons et une journée perdue dans la grande masse des journées que compte une vie.
Commençons par la fin avec 1234, sa dernière chanson avec un clip disco rigolo à paillettes.
En plus, la chorégraphie n'a même pas l'air d'être signée par Kamel Ouali, et à la limite du possible, en moins de 246 heures, je pourrai l'apprendre. Ce qui est bien et c'est pour cela qu'on applaudie bien fort la demoiselle qui chante.
En ce moment on entend très souvent MY MOON MY MAN, ce qui est très bien puisque c'est une très très bonne chanson qu'on ne peut qu'aimer puisqu'elle est très très bien. ( s'il y a encore des ennemis du bien pensé musical ici, ils n'ont qu'à allumer RTL, peut être qu'ils tomberont sur STOP OU ENCORE)
Comme moi Feist aimerait qu'on puisse danser dans les lieux publics tous ensemble, sauf qu'elle a les moyens de le faire sans être ridicule, ce qui n'est pas donné à tout le monde, et qui donc ne m'est pas donné à moi. ce n'est peut être pas si mal, tout bien réfléchi...
Mais mes chansons préférées, sont celles qu'elle chante en duo avec Mocky, qui est allemand je crois, comme quoi il n'y a pas que le type que j'ai longtemps pris pour une fille de Tokyo Hotel dans le paysage musicale allemand.
Il n'y aura que Fighting away the tears, parce que l'autre n'est pas sur youtube ( méchant youtube)
La première fois que je l'ai entendue, c'était au Virgin de la rue Edouard Herriot à Lyon, qui est à côté de chez moi et ouvert jusqu'à 20H, donc j'y vais quand je veux. c'est ça la classe... Revenons à nos moutons, encore une chanson et après vous pouvez retourner écouter Sum41
Pour finir, voici une sorte de biorapido et bien faite de feist que j'ai trouvé sur youtube.
Avant "The Reminder", la canadienne Feist a eu plusieurs vies. Diva punk adolescente du côté de Calgary, elle a tout d'abord fait partie d'un groupe rock avant de sévir à Toronto dans une autre formation nommée By Divine Right. Puis, au sein de Broken Social Scene, elle sert ce collectif à géométrie variable, précurseur de l'indie-rock sur la scène musicale canadienne.
Après un détour par Berlin où elle partage un appartement avec sa copine electroclash Peaches, cap sur Paris avec son vieux pote le pianiste barré Chilly Gonzales. Là, les expatriés s'acoquinent avec le producteur Renaud Létang (Souchon, Manu Chao, Birkin...) et s'attelent à "Let It Die". Rapidement, le premier extrait "Mushaboom" devient un tube et la voix de Feist, tour à tour douce et caressante, passe définitivement les frontières (disque d'or en France, platine au Canada), flattant les oreilles du grand public des deux côtés de l'Atlantique.
Trente-trois mois de concerts et autant de festivals plus tard sur trois continents, il est temps pour Feist de penser à retourner en studio. C'est à La Frette-Sur-Seine, un charmant village du Val-d'Oise située à une vingtaine de kilomètre de Paris, qu'elle décide finalement de s'installer. Dans un manoir vieux de 200 ans, le groupe de tournée se réunit (Julian Brown, Bryden Baird et Jess Baird), rejoint par Gonzales, Mocky, Renaud Létang et Jamie Lidell. Rapidement, la bâtisse s'orne d'un piano, d'un vibraphone, d'orgues, de guitares et d'amplis. Contre les vitraux, deux batteries sont installées et des micros dispersés un peu partout sur le parquet ciré.
L'isolement et le calme de l'endroit les sensibilisent au moindre son et ils utilisent alors leur environnement comme matière sonore : un chant d'oiseau, un aboiement de chien, le passage d'une voiture ou d'un avion... Forts de leur complicité et de leur expérience sur scène, Feist et son équipe travaillent vite. En deux semaines, l'affaire est bouclée : "The Reminder" est né.
Premier extrait du CD, "My Moon My Man" et son riff de piano donnent le ton. En pleine maîtrise de son chant, Feist y souffle le chaud et le froid tandis que basse et batterie s'entremèlent. Quant à "Brandy Alexander", sa rythmique syncopée de grosse caisse se synchronise peu peu avec celle d'un battement de coeur. Effet hypnotique garanti. Dans "1234", une chanson testée sur scène, elle rend à hommage à la grande Dusty Springfield, période "Dusty in Memphis". Hommage, encore, avec "Limit To Your Love" où Feist se projette dans la peau de Nico, l'égérie du Velvet Underground, jouant au piano accompagnée aux percussions de Maureen Tucker. On trouve aussi dans cet album des traces de reminiscences d'un long laps de temps passé sur les routes avec "Sea Lion Woman". Chant traditionnel adapté avec succès en son temps par Nina Simone, Feist en a fait un des tours de force de ses prestations live. Sur disque, il devient un morceau afro-electro à grands renforts de synthétiseurs, d'applaudissements et d'une mini chorale gospel. "The Water", elle, plonge la voix de Feist sous des couches de vibraphone et de piano, laissant le texte dériver entre la rudesse des montagnes, une mer dangereuse et des piles d'ossements qui émergent des profondeurs... Guitare fragile et cordes pincées en avant, Feist joue dans "Intuition" au jeu des questions-réponses avec, au loin, le choeur d'une foule.
Bref, "The Reminder, qui fait suite et sens au succès de "Let It Die", est un condensé de Feist. Le disque d'une artiste se retrouvant après s'être dispersé, se posant après avoir parcouru le monde. Une artiste, enfin, qui rassemble en quelques chansons toutes les facettes de sa personnalité.
09:30 Publié dans La it musique | Lien permanent | Commentaires (8)
mercredi, 21 novembre 2007
Lettre à France
Je vais vous parler de ma vie cinq minutes ( oui ma commande ASOS est arrivée dans une belle boîte ASOS je suis toute pimpante en gris & argent, oui vous savez le nouveau noir!). Alors mes enfants chéris ont été cool et j'ai acheté des bouquins pendant la pause)
Et puis ça y est, je suis encore plus it que tout à l'heure, j'ai une neuf TV qui marche avec plein de chaines en Haute définition s'il vous plait et maintenant je vois Yann Barthes en beaucoup mieux. Yann t'es toujours aussi beau. Alors je regarde Doctor Who sur France 4 et c'est Chouette!
Et puis je rezappe par habitude sur la 2 parce que... Ouai maintenant j'aime bien Michel Berger & France Gall. Avant j'aimais pas trop, mais les gens changent, il faut savoir s'habituer...
Alors voilà la it girl aime France Gall. Avant c'était surtout avant Michel Berger puisque j'aimais pas trop Michel Berger. Faut dire que quand j'étais jeune mon père m'a élevé à Bobby Lapointe et Boris Vian. Alors Michel Berger... Dans ma vie y avait qu'Alain Souchon. Et puis j'ai ouvert mon coeur à d'autres chanteurs.
Donc pour laisser la place aux dames
J'aime les oldies des années 60 alors forcément j'apprécie France Gall. Elle est it depuis toujours!
Et puis en voyant sa coupe de cheveux et son look baby doll, je me dis que France Gall est top tendance Automne/Hiver 2007/2008. France, t'es trop it, ouvre un blog! On organisera des goûters de bloggueuses toi et moi et on se laissera des com... On aura même un Facegroupe. Tu seras mon amie...
France a chanté plein d'autres très jolies chansons composées par Gainsbourg ou Michel Berger. En faire ici la liste serait fastidieux et innutile. Tout ou presque est sur youtube.
Ses chansons m'accompagnent désormais, surtout une que vous découvrirez bien assez tôt ( teasing teasing teasing!).
Il n'y a rien à dire Michel Berger savait trouver les mots qu'il faut...
23:35 Publié dans La it musique | Lien permanent | Commentaires (2)
lundi, 19 novembre 2007
Adrienne Pauly
Mais qui est cette dame déguisée en Bertrand Burgalat ? Bon sang mais c'est bien sur, c'est Adrienne Pauly!
Maintenant je vais t'expliquer pourquoi elle est it.
Premièrement, parce que je l'aime bien et qu'en tend qu'it girl, ce que j'aime devient it. Ca va de soi.
Et puis parce qu'elle chante bien, des chansons où elle va faire ses courses au prisunic ( comme moi! enfin à Lyon y a plus que Monop vu que le Prisu il s'est changé en TATI y a une dizaine d'année. Des chansons où elle veut un mec, comme moi ( Un allemand blond svp)
Adrienne, j'aimerai bien qu'elle vienne à Lyon pourque j'aille l'écouter chanter. Ce serait bien. Ce serait même plus, ce serait it.
Donc dans la limite du possible, Adrienne si tu passes ici. Bah je veux bien que tu chantes aussi. Parce que sur ton myspace, toujours rien.
T'as un truc contre Lyon Adrienne ? On est pas assez it pour toi ? Eh oh... the one who does not jump is not from Lyon !
( remarquez le bilinguisme élégantissime de la it girl. Sous vos applaudissements!)
T'as peur qu'on te vole ton sac ?
Nan, sans blague, même si elle passe pas à Lyon, bah moi Adrienne je l'aime quand même. Ses chansons sont vraiment sympa et it. Alors vous allez l'aimer vous aussi.
prochaine it chanteuse : Daphné.
08:05 Publié dans La it musique | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : blabla de fille, it girl
lundi, 12 novembre 2007
Enfin bon bref passons
22:30 Publié dans La it musique | Lien permanent | Commentaires (7)
vendredi, 09 novembre 2007
keep on Smilin
un peu de it musique pour vois it oreilles
15:45 Publié dans La it musique | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 28 août 2007
Une vrai Girouette
L'année dernière, j'ai passé l'été à chanter le tube anti amoureux d'Anaïs, mais comme souvent femme varie, cette année je me suis mise à Adrienne Pauly
10:35 Publié dans La it musique | Lien permanent | Commentaires (1)